Headline of the Lebanese Forces website : Municipal Elections… A Mini Battle Preparing for 2026 Elections
Incidents of the United Nations Interim Force in Lebanon (UNIFIL) being prevented from conducting their routine patrols in southern villages and towns have become a recurring and troubling phenomenon. These incidents raise serious questions about UNIFIL’s ability to fulfill its core duties, especially in areas that are, under the ceasefire agreement, supposed to be free of any armed presence except for the Lebanese army.
Particularly alarming is the growing role of what the “Party” refers to as “the residents,” a veiled reference to civilian elements from the southern towns and villages. Instead of being a spontaneous obstacle to UNIFIL’s movements, local sources from the South indicate that these “residents” now resemble organized factions, capable of bearing arms when necessary to impose their will on international forces.
In this context, sources confirm to the Lebanese Forces website that the Party’s behavior reflects a blatant contradiction in its stances. While it proclaims its commitment to the ceasefire, it appears to be systematically working to circumvent UN resolutions and obstruct UNIFIL’s movements under various pretexts, chief among them the insistence on Lebanese army accompaniment for patrols.
The same sources point out that the majority of these “residents” are not merely ordinary civilians, but trained individuals loyal to the Party, widely deployed in agricultural lands and other areas to monitor UNIFIL’s movements. Any approach by international forces to areas the Party considers “off-limits” triggers a swift and organized response by these residents to expel them and prevent their access.
Meanwhile, amid regional and domestic tensions, Lebanon is preparing for a significant democratic event: the municipal and mukhtar elections. Scheduled to begin next Sunday, these elections are not merely a local administrative duty but a real test of Lebanese democracy under tremendous challenges. While regional conflicts continue, albeit with less intensity, all eyes are on the ballot boxes, where political parties and groups compete in a democratic contest that directly impacts citizens’ daily lives. These parties have prepared extensively, fully aware of the elections’ importance in shaping local governance and influencing the broader political landscape.
Sources following the electoral process told the LF website that these municipal and mukhtar elections carry deeper implications than merely electing local councils. They serve as a real “rehearsal” for the 2026 parliamentary elections. This vote is an intensive exercise for electoral machines gearing up for what is expected to be a “fierce and decisive” parliamentary battle—the first after sweeping changes in the Middle East, particularly in Lebanon.
The sources add: “These municipal elections carry double significance. They not only test the Lebanese democratic system’s resilience in the face of challenges, but also outline the contours of the future political scene. Their results will be a decisive indicator of Lebanese public opinion trends and the political forces’ ability to rally support amid current conditions.”
Manchette du site des Forces Libanaises : Les élections municipales… une bataille miniature en préparation des législatives de 2026
Les incidents où la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL) est empêchée de mener ses patrouilles habituelles dans les villages et localités du Sud deviennent un phénomène récurrent et inquiétant. Ces événements soulèvent de sérieuses interrogations quant à la capacité de la FINUL à accomplir ses missions fondamentales, notamment dans des zones qui, selon l’accord de cessez-le-feu, devraient être exemptes de toute présence armée autre que celle de l’armée libanaise.
Ce qui est particulièrement préoccupant, c’est le rôle croissant de ce que le « parti » appelle les « habitants », une référence à peine voilée à des civils des villages et villes du Sud. Au lieu d’être un obstacle spontané aux mouvements de la FINUL, des sources locales affirment que ces « habitants » ressemblent de plus en plus à des factions organisées, capables de prendre les armes si nécessaire pour imposer leur volonté aux forces internationales.
Dans ce contexte, des sources confirment au site des Forces Libanaises que le comportement du parti révèle une contradiction flagrante dans ses positions. Alors qu’il proclame son engagement envers le cessez-le-feu, il semble œuvrer méthodiquement à contourner les résolutions des Nations unies et à entraver les déplacements de la FINUL sous divers prétextes, notamment l’exigence que l’armée libanaise accompagne ses patrouilles.
Les mêmes sources indiquent que la majorité de ces « habitants » ne sont pas de simples civils, mais des éléments entraînés et loyaux au parti, largement déployés dans les zones agricoles et ailleurs pour surveiller les mouvements de la FINUL. Toute tentative des forces internationales de s’approcher de zones considérées comme « interdites » par le parti entraîne une réaction rapide et organisée de ces « habitants » pour les expulser et les empêcher d’y accéder.
Parallèlement, et dans un climat de tensions régionales et intérieures, le Liban s’apprête à vivre un événement démocratique important : les élections municipales et les élections des mokhtars. Prévu pour commencer dimanche prochain, ce scrutin ne représente pas simplement une échéance administrative locale, mais constitue un véritable test pour la démocratie libanaise dans un contexte difficile. Tandis que les répercussions des conflits régionaux persistent, quoique de manière moins aiguë, tous les regards se tournent vers les urnes, où les différents partis et forces politiques s’affrontent dans une bataille démocratique qui touche directement la vie quotidienne des citoyens. Ces formations politiques se sont largement préparées, conscientes de l’importance de ce scrutin pour l’avenir de la gestion locale et son impact sur la scène politique nationale.
Des sources impliquées dans le suivi électoral ont déclaré au site des Forces Libanaises que ces élections municipales et mokhtars revêtent une portée bien plus large que la simple désignation de conseils locaux. Elles représentent une véritable « répétition » des élections législatives prévues en 2026. Ce scrutin constitue un exercice intensif pour les machines électorales, qui se préparent à une bataille parlementaire « âpre et décisive », la première depuis les transformations profondes survenues au Moyen-Orient, en particulier au Liban.
Les sources ajoutent : « Ces élections municipales et mokhtars ont une importance décuplée. Elles testent non seulement la capacité du système démocratique libanais à résister aux défis, mais dessinent aussi les contours du paysage politique futur. Leurs résultats constitueront un indicateur déterminant de l’orientation de l’opinion publique libanaise, et de la capacité des forces politiques à mobiliser le soutien dans les conditions actuelles. »